L’or, l’euro, les actions… et Bitcoin dans le coffre-fort tchèque ? La finance vacille entre audace et prudence, et Prague danse sur un fil tendu entre volatilité et ambition.
L’or, l’euro, les actions… et Bitcoin dans le coffre-fort tchèque ? La finance vacille entre audace et prudence, et Prague danse sur un fil tendu entre volatilité et ambition.
L’intégration du bitcoin dans les réserves des banques centrales divise profondément les acteurs économiques. D’un côté, certains gouverneurs prônent une diversification des actifs pour adapter les stratégies monétaires à un monde en mutation. De l’autre, la Banque centrale européenne (BCE) campe sur une ligne stricte, et rejette fermement toute légitimité du bitcoin en tant que réserve de valeur. Ce débat vient de prendre une nouvelle dimension après les déclarations de Christine Lagarde. Interrogée lors d’une conférence de presse, la présidente de la BCE a coupé court aux spéculations et affirme que le bitcoin ne répondait à aucun des critères requis pour figurer dans les réserves des banques centrales : « liquides, sûres et sécurisées ». Une prise de position qui contraste avec celle du gouverneur de la Banque nationale tchèque, Aleš Michl, ouvert à l’idée d’explorer de nouvelles classes d’actifs. Cette divergence croissante illustre la fracture entre une approche conservatrice du système financier et une vision plus pragmatique, portée par certains décideurs qui cherchent à anticiper les transformations monétaires à venir.
Le marché des cryptos connaît une mutation profonde, et le bitcoin s’impose plus que jamais comme l’élément central du paysage financier numérique. Alors que les cycles précédents voyaient les altcoins profiter de l’essor du BTC pour gagner du terrain, la dynamique actuelle prend une tournure inédite. Les investisseurs institutionnels privilégient massivement le bitcoin, et délaissent des milliers de tokens pourtant toujours plus nombreux. Son indice de dominance a bondi de 15,5 % en janvier 2025, et atteint près de 59 %, un niveau qui illustre un net déséquilibre entre le BTC et le reste du marché. Cette montée en puissance ne tient pas seulement à l’afflux de capitaux. Les décisions politiques, les performances des ETF et l’essoufflement des altcoins contribuent à renforcer la suprématie du roi des cryptos. Face à ces transformations, le bitcoin est-il en train de se détacher définitivement du marché crypto traditionnel ?
Solana domine 50 % du volume DEX et dépasse Ethereum. Analyse de cette montée en puissance qui bouscule l’écosystème crypto.
L'émetteur du stablecoin USDT fait part de ses préoccupations concernant le retrait de sa crypto des plateformes européennes. Cette décision, motivée par la nouvelle réglementation MiCA, pourrait créer selon Tether un marché "désordonné" et présenter des risques pour les consommateurs européens.
Le constructeur automobile Tesla a déclaré un gain substantiel de 600 millions de dollars sur ses investissements en bitcoin au quatrième trimestre 2024, profitant d'une nouvelle réglementation comptable. Cette performance remarquable, annoncée lors de la publication des résultats trimestriels le 29 janvier, représente plus d'un quart du bénéfice total de l'entreprise pour cette période.
Dans un monde en constante mutation, où chaque décision politique redessine les contours du pouvoir, un phénomène d’envergure émerge : l’ascension des BRICS. Cet acronyme, autrefois perçu comme un regroupement symbolique des grandes économies émergentes, s’affirme aujourd’hui comme une force motrice de l’équilibre géopolitique. Avec l’élargissement récent de ce bloc à de nouveaux membres influents, le paysage mondial s’enrichit de dynamiques inédites, ce qui remet en cause l’hégémonie des institutions occidentales. Tandis que Donald Trump entame un second mandat aux États-Unis, axé sur une politique protectionniste et isolationniste, la montée en puissance des BRICS représente un défi stratégique aux implications profondes.
L'IA chinoise DeepSeek a provoqué un séisme au sein la tech américaine. Les rapports de force géopolitiques viennent de changer.
Jadis silencieux, les portefeuilles crypto s’agitent : 36 millions d’âmes numériques explorent la blockchain, bousculant banques et traditions. La révolution monétaire, telle une marée montante, semble inexorable.
La blockchain crypto Cardano adopte une gouvernance 100 % décentralisée. Découvrez pourquoi cette mise à niveau pourrait changer la donne !
L’industrie des semi-conducteurs est devenue le champ de bataille d’une guerre technologique entre les États-Unis et la Chine. Washington, soucieux de préserver son avantage stratégique en intelligence artificielle, a déjà imposé plusieurs restrictions sur l’exportation des puces de haute performance. Malgré ces mesures, la Chine a continué à progresser, ce qui pousse Donald Trump à envisager un durcissement supplémentaire des limitations qui visent Nvidia. Ce projet pourrait redessiner les équilibres du marché mondial de l’IA, et fragiliser les entreprises américaines. Entre impératif de sécurité nationale et enjeux économiques, cette décision s’insère dans une stratégie qui vise à freiner l’essor technologique de Pékin. Cependant, l’efficacité de ces restrictions reste incertaine, alors que les entreprises chinoises redoublent d’efforts pour contourner ces sanctions et développer leurs propres alternatives.
Le gouvernement salvadorien a fait adopter en urgence une modification majeure de sa législation sur le bitcoin, abandonnant l'obligation pour les entreprises d'accepter le BTC comme moyen de paiement. Cette réforme intervient dans le cadre d'un accord de prêt de 1,4 milliard de dollars avec le Fonds Monétaire International (FMI).
Le 29 janvier 2025, le Trump Media and Technology Group (TMTG), société mère de Truth Social, a annoncé son expansion dans le secteur des services financiers et des cryptomonnaies en lançant une nouvelle marque appelée Truth.Fi. Cette initiative vise à offrir des comptes gérés séparément en partenariat avec la banque Charles Schwab, des fonds négociés en bourse personnalisés, ainsi que des services liés à la crypto.
Le Bitcoin, malgré sa progression de 10% depuis janvier, pourrait faire face à une correction majeure alors que l'or surperforme avec des gains annuels de 20 %. Cette dynamique inverse entre les deux actifs fait craindre un retournement imminent sur le marché crypto.
Le Lone Star State pourrait devenir le premier État américain à établir officiellement une réserve bitcoin. Dan Patrick, lieutenant-gouverneur du Texas, a inscrit ce projet parmi les priorités législatives pour 2025, marquant ainsi une étape décisive dans l'adoption institutionnelle des cryptos États-Unis.
Le président des États-Unis, Donald Trump, continue d’étendre son empreinte dans le domaine crypto en intégrant son memecoin officiel, $TRUMP, à la vente de produits dérivés. Les détenteurs de $TRUMP peuvent désormais acheter des articles tels que des baskets, des montres et des parfums en utilisant ce token. Cette initiative marque une évolution notable pour le 47e président, qui avait auparavant qualifié la valeur des cryptomonnaies de « basée sur du vent ».
Chaque décision de la Réserve fédérale américaine façonne l’économie mondiale, et influence le coût du crédit, l’orientation des investissements et la stabilité des marchés financiers. Lors de sa première réunion de 2025, le comité de politique monétaire (FOMC) a choisi de maintenir les taux d’intérêt inchangés, malgré les appels insistants de Donald Trump en faveur d’un assouplissement monétaire. Ce statu quo a provoqué une onde de choc contrastée : les indices boursiers, du Nasdaq au Dow Jones, ont clôturé en baisse, tandis que le bitcoin a bondi de 2,5 %. Ainsi, ce mouvement souligne une fois de plus la trajectoire singulière des cryptos, qui semblent se détacher des logiques économiques traditionnelles.
L’Union européenne intensifie son contrôle sur les stablecoins non conformes à sa nouvelle réglementation. Crypto.com vient d’annoncer la suppression de Tether (USDT) et de neuf autres cryptos en Europe, une décision qui constitue un virage pour le secteur. Une telle initiative répond directement aux exigences du règlement MiCA (Markets in Crypto-Assets Regulation), qui impose un encadrement strict des stablecoins et des services associés. Après Coinbase, qui a retiré l’USDT en octobre 2024, Crypto.com suit le mouvement et impose un calendrier précis à ses utilisateurs. Dès le 31 janvier 2025, l’achat et le dépôt de ces actifs seront interdits sur sa plateforme européenne. À partir du 31 mars, les fonds restants seront automatiquement convertis en stablecoins conformes à MiCA. Ce retrait dépasse la simple mise en conformité. Il redessine le paysage des stablecoins en Europe, où les plateformes d’échange doivent désormais s’adapter aux nouvelles règles ou risquer des sanctions. Dans un marché en pleine mutation, cette annonce souligne la volonté des régulateurs d’imposer un cadre strict, et laisse planer des incertitudes sur l’avenir des stablecoins décentralisés dans l’UE.
Les tensions monétaires s’intensifient à mesure que les BRICS accélèrent leur quête d’indépendance face au dollar américain. Cette dynamique bouleverse les stratégies économiques mondiales et pousse les grandes puissances à repenser leurs réserves financières. Actuellement, l’administration Trump a annoncé la création d’un « stock stratégique de cryptos », ce qui relance un débat explosif entre les partisans du bitcoin et ceux du XRP. Certains y voient une reconnaissance officielle du rôle de ces actifs dans la politique monétaire, tandis que d’autres s’interrogent sur les cryptos qui seront réellement intégrées. Au-delà d’une rivalité technologique, cette confrontation révèle des enjeux géopolitiques majeurs : le choix des BRICS entre le bitcoin, le XRP ou une autre crypto pourrait remodeler l’équilibre des réserves mondiales et redéfinir les rapports de force entre les États.
Quand DeepSeek aspire les neurones d’OpenAI, Microsoft crie au hold-up, et la marine US barricade ses serveurs. La guerre froide numérique bat son plein.
Après le Texas, c’est au tour de la Russie d’utiliser l’industrie du bitcoin pour équilibrer son réseau électrique et réduire la facture. Quand la France ve-t-elle se réveiller ? Et l'Allemagne ?
Le gouverneur de la Banque nationale tchèque, Aleš Michl, a récemment proposé un plan ambitieux visant à investir jusqu'à 7 milliards de dollars en Bitcoin (BTC) dans le cadre de la stratégie de diversification des réserves de la banque. Cette proposition, qui sera présentée au conseil d'administration de la banque le 30 janvier 2025, pourrait faire de la Banque nationale tchèque la première banque centrale européenne à investir dans le bitcoin.
Le 28 janvier 2025, la bourse Cboe BZX a déposé de nouvelles demandes d'ETF axés sur Solana pour Bitwise, VanEck, 21Shares et Canary Capital. Après un échec cuisant en 2024, ces initiatives visent à relancer l'examen de la SEC, marquant ainsi une étape importante pour l'adoption crypto sur les marchés financiers traditionnels.
Nvidia vacille, Bitcoin frémit. Quand 600 milliards partent en fumée, la crypto-phare sent le vent tourner. Et si l’avenir doré du BTC se dessinait dans les cendres de la tech ?
Le marché des cryptos alterne entre envolées spectaculaires et corrections abruptes, et Solana ne fait pas exception. Après un début d’année chahuté, marqué par une volatilité exacerbée, le jeton SOL a perdu 17,2 % en seulement trois jours, ce qui ramène son prix à 235 dollars. Cette chute, bien que brutale, ne résume pas à elle seule la situation de l’écosystème. Derrière le déclin du prix, des signaux contrastés émergent. D’un côté, l’activité on-chain s’effondre avec une baisse de 40 % des volumes de transactions, ce qui fragilise des plateformes majeures comme Orca (-62 %) et Meteora (-45 %). De l’autre, le Total Value Locked (TVL) bondit de 27 %, et dépasse Ethereum et BNB Chain, grâce à des plateformes comme Raydium et Binance Staked SOL. Ainsi, les investisseurs hésitent encore à miser sur un véritable rebond. Trois facteurs clés permettront de savoir si Solana peut inverser la tendance et retrouver ses sommets historiques.
Le Sénat de l'Arizona fait un pas historique vers l'adoption institutionnelle des cryptomonnaies avec l'avancement d'un projet de loi autorisant l'État à investir jusqu'à 10% de ses fonds publics en bitcoin. Cette initiative pourrait déclencher une vague d'adoption similaire dans d'autres États américains.
La situation de l’emploi en France connaît une détérioration préoccupante. Selon les derniers chiffres publiés le 27 janvier 2025 par le ministère du Travail, le nombre de demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A) a bondi de 3,9 % au quatrième trimestre 2024 par rapport au trimestre précédent. Cela représente 117 000 chômeurs supplémentaires, portant le total à 3,1 millions de personnes, un niveau qui n’avait pas été observé depuis une décennie, hors période Covid-19.
Bitwise, une société de gestion d'actifs crypto, a récemment déposé une demande auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) pour lancer un fonds négocié en bourse (ETF) basé sur le Dogecoin (DOGE). Cette initiative marque une étape importante pour Bitwise, qui avait déjà enregistré un trust Dogecoin dans le Delaware plus tôt ce mois-ci.
Depuis plusieurs décennies, la gestion budgétaire française est une source de tensions récurrentes, mais la situation actuelle atteint un niveau inédit. En 2025, la censure du budget votée par le Sénat a plongé le pays dans une crise financière majeure, avec des pertes estimées à 100 millions d’euros par jour. Faute d’un nouveau texte validé par l’Assemblée nationale, le budget de 2024 reste en vigueur, ce qui prive l’État de recettes essentielles et de mesures d’économies. Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, alerte sur les répercussions de cette impasse, et souligne à la fois son coût économique et les défis institutionnels qu’elle révèle.
Tuttle Capital Management a récemment déposé une demande pour lancer 10 ETF crypto à effet de levier, incluant les memecoins $TRUMP et $MELANIA, créés par l’actuel président américain Donald Trump et la Première Dame Melania Trump. Ces ETF à effet de levier visent à amplifier les rendements quotidiens des actifs sous-jacents, offrant ainsi des opportunités de gains potentiellement élevés, mais aussi des risques accrus pour les investisseurs crypto.