Fenelon L.

La gouverneure démocrate de l'Arizona, Katie Hobbs, a une nouvelle fois opposé son veto à un projet de loi pro-Bitcoin. L’État aurait pu créer une réserve publique à partir de cryptos saisies, comme le font déjà le Texas ou le New Hampshire.

Alors que le deuxième trimestre touche à sa fin, le bitcoin pourrait bien écrire une nouvelle page de son histoire. Les 109 000 dollars sont à portée, et les signaux techniques convergent. Mais derrière cette dynamique haussière, des tensions se dessinent : déficit de demande, jeux de liquidité et incertitude sur les taux américains. La clôture mensuelle de juin pourrait-elle tout changer ?

Depuis plusieurs semaines, l’action Coinbase (COIN) enchaîne les hausses, jusqu’à atteindre un sommet historique à 382 $, avant de clôturer à 369,21 $. Cette envolée ne doit rien au hasard : elle reflète à la fois un tournant réglementaire majeur aux États-Unis et la profonde mutation stratégique engagée par l’entreprise crypto, bien décidée à devenir l’un des piliers de la finance numérique mondiale.

Longtemps réservé à bitcoin, le rôle d’actif de trésorerie stratégique s’élargit désormais à d’autres cryptos. Upexi, cotée au Nasdaq, en apporte une illustration concrète : elle a renforcé sa trésorerie avec 735 692 SOL, valorisés à plus de 105 millions de dollars. Et ce n’est pas tout : l'entreprise annonce également la tokenisation de ses actions sur la blockchain Solana.

Après des semaines de consolidation et de volatilité, Ethereum retrouve des couleurs et affiche une progression spectaculaire de 15 % depuis ses plus bas. Cette remontée fulgurante replace l'ETH dans une position technique stratégique où les 2 800 $ deviennent un objectif crédible.

La société de Michael Saylor, Strategy (ex-MicroStrategy), pourrait bientôt intégrer le prestigieux indice S&P 500. Selon l’analyste Jeff Walton, elle aurait 91 % de chances d’y parvenir dans les 5 prochains jours. Mais pour cela, une condition cruciale doit être remplie : le bitcoin doit rester au-dessus d’un seuil déterminant.

L'annonce surprise de Donald Trump d'un cessez-le-feu entre l'Iran et Israël a provoqué un véritable séisme sur les marchés énergétiques. Les cours du pétrole ont plongé de plus de 5 %, tandis que les Bourses mondiales s'envolent. Cette accalmie géopolitique est-elle durable ?

Le marché crypto a explosé à la hausse lundi soir, propulsant le bitcoin au-dessus de 105 000 dollars après que Donald Trump a annoncé un accord de cessez-le-feu entre l'Iran et Israël. Cette nouvelle a instantanément transformé l'humeur des investisseurs. Mais cette euphorie est-elle durable dans un contexte géopolitique toujours fragile ?

Malgré une chute du bitcoin sous les 100 000 dollars suite aux frappes américaines en Iran, le marché des options reste remarquablement optimiste. Les investisseurs se positionnent massivement pour une reprise, en dépit d’une volatilité accrue. Est-ce un pari risqué ou une anticipation lucide d’un rebond ?

Le gouvernement norvégien envisage de suspendre temporairement les nouvelles opérations de minage de bitcoin. Cette mesure drastique, motivée par des préoccupations énergétiques, pourrait redessiner la carte du minage européen.

L'industrie du minage Bitcoin américaine traverse une période critique. Entre des règles fiscales archaïques et une pression économique grandissante, les mineurs réclament aujourd'hui un traitement équitable face à leurs homologues des matières premières traditionnelles.

La Cour de justice de l’Union européenne pourrait rejeter l’appel de Google contre une amende de 4,7 milliards de dollars. Ce revers judiciaire n’est pas qu’une affaire d’antitrust : il incarne les tensions croissantes entre les géants technologiques américains et la souveraineté numérique européenne.

L'économiste Peter Schiff s'oppose frontalement au gouvernement américain sur l'avenir des stablecoins. Alors que Washington compte sur ces cryptomonnaies pour renforcer le dollar, Schiff prédit l'inverse. Mais a-t-il raison de s'inquiéter ?