Diplômé de Sciences Po Toulouse et titulaire d'une certification consultant blockchain délivrée par Alyra, j'ai rejoint l'aventure Cointribune en 2019. Convaincu du potentiel de la blockchain pour transformer de nombreux secteurs de l'économie, j'ai pris l'engagement de sensibiliser et d'informer le grand public sur cet écosystème en constante évolution. Mon objectif est de permettre à chacun de mieux comprendre la blockchain et de saisir les opportunités qu'elle offre. Je m'efforce chaque jour de fournir une analyse objective de l'actualité, de décrypter les tendances du marché, de relayer les dernières innovations technologiques et de mettre en perspective les enjeux économiques et sociétaux de cette révolution en marche.
Malgré leur progrès en termes d’adoption, les cryptos suscitent toujours autant de scepticisme quant à leur utilité réelle. Pour certaines raisons, certains experts les voient encore comme un danger pour le système financier.
Avec la chute des revenus provenant du mining de cryptos, certaines grandes sociétés de minage ont entrepris de se diversifier et d’explorer de nouvelles opportunités. Ainsi, en plus du minage traditionnel, Hut 8, Hive Blockchain et Iris Energy se sont tous lancés dans de nouvelles activités. Un choix qui leur a plutôt bien réussi jusqu’ici, car le bilan dressé par chacune de ces sociétés semble reluisant.
L’actualité de la reine des cryptomonnaies est suivie de très près et les prédictions sur son avenir se multiplient au fil des jours. L’actif numérique connaît une tendance haussière depuis quelques jours pour le plus grand bonheur des bitcoiners. De nombreux analystes s’accordent d’ailleurs pour dire qu’il est destiné à…
Les stablecoins ont connu une croissance spectaculaire au cours des années 2020 et 2021, attirant au passage de nombreux utilisateurs et s’offrant une grande part du marché des cryptomonnaies. Certains de ces actifs numériques ont subi, par la suite, les répressions des autorités de régulation pendant que d’autres ont été confrontés à de nombreuses turbulences. Des situations ayant ralenti la croissance globale de cette classe d’actifs numériques, mais dont les rescapés comme l’USDT sont ressortis revigorés au point d’être désormais considérés comme des concurrents par les banques, voire comme une menace pour la stabilité financière mondiale. Paolo Ardoino pense qu’il n’en est rien. Le directeur technique de Tether a récemment déclaré que le plus grand émetteur de stablecoins ne constitue pas une menace pour les banques.
De nombreuses études et analyses ont prédit que la blockchain gagnerait continuellement du terrain. C’est ce que tendent à démontrer les récentes tendances autour de cette technologie aux États-Unis notamment.
Actifs numériques aux solutions innovantes, aux fonctionnalités diverses et offrant d’intéressantes opportunités d’investissement, les altcoins sont très prisés de nombreux investisseurs. Ils réalisent des performances spectaculaires notamment lors de l’altcoin season au point de faire de l’ombre au bitcoin (BTC). Ce qui pousse de nombreux analystes ou investisseurs à faire le parallèle entre la cryptomonnaie phare et les altcoins afin de mettre au point ou d’optimiser leur stratégie d’investissement. La société de recherche K33 Research s’est aussi prêtée à cet exercice.
Partout ailleurs dans le monde, les cryptos tendent à gagner du terrain. Alors que certains pays s’adaptent à cette tendance pour essayer de les réglementer, d’autres choisissent de les interdire. Les économistes du FMI pensent que cette stratégie est foncièrement mauvaise.
L’avenir du système monétaire préoccupe fortement la BRI. Avec l’essor des paiements numériques, la Banque des règlements internationaux pense que le système monétaire actuel est destiné à subir une transformation majeure. L’institution considère la technologie financière actuelle comme inadaptée et propose une solution : un système de registre unifié !
Tenu à la gorge par la dette, le Salvador a fait un choix fort en légalisant le bitcoin sur son territoire. L’ambition principale de cette décision est de libérer l’État du poids de la dette qui pèse sur lui. Certains pensent que cet objectif sera atteint d’ici la fin de la décennie.
Le gestionnaire d’actifs BlackRock a provoqué l’explosion du cours du bitcoin avec sa récente procédure d’ETF Bitcoin. Une demande, déposée auprès de la SEC, dont on se demande si elle va y accéder sachant qu’elle s’y est jusqu’ici opposée.
Le lancement d’Ethereum Name Service (ENS) en 2017 a facilité l’identification des utilisateurs du Web3. Les longues suites de caractères alphanumériques qui constituaient les adresses de wallet crypto des utilisateurs ont laissé place à des noms d’utilisateur blockchain faciles à retenir. Toutefois, de nombreuses personnes semblent rester indifférentes à cette révolution, comme le témoigne le faible engouement observé jusque-là pour les noms d’utilisateurs. Plus de 90 % des adresses Web3 ne sont toujours pas associées à des noms d’utilisateurs. Cependant, les récentes avancées dans l’écosystème Web3 pourraient favoriser l’adoption massive de ces noms d’utilisateurs.
Après de longues semaines de bear market, le bitcoin (BTC) se refait une santé depuis quelques jours. L’intérêt manifeste du géant de la finance BlackRock qui a déposé une demande d’ETF Bitcoin auprès de la SEC et qui a d’ailleurs été imité par de nombreux investisseurs institutionnels, est sans doute le principal catalyseur de cette flambée temporaire du prix du bitcoin (BTC). Une flambée qui pourrait bientôt se muer en une véritable tendance haussière selon certains analystes qui prédisent un bullmarket imminent pour la reine des cryptomonnaies. Le bitcoiner Cameron Winklevoss n’est pas resté en marge de l’actualité de sa cryptomonnaie préférée. Selon lui, l’heure est désormais à la grande accumulation du bitcoin (BTC).
Jusqu’à un passé récent, la victoire de Ripple face à la SEC ne faisait pas trop de débats. Plusieurs acteurs de l’industrie crypto avaient d’ailleurs pronostiqué la victoire de l’entreprise. Certains envisagent le contraire désormais.
Le projet d’une monnaie numérique européenne (CBDC) est vivement critiqué, entre autres pour son caractère intrusif dans la vie privée. Des menaces qui s’étendent jusqu’à la sphère financière des États. Certains, comme la Slovaquie, prennent ces risques très au sérieux et veulent travailler s’en protéger.
Contrairement aux autres cryptos, les stablecoins inspirent relativement plus confiance aux utilisateurs. Ceci, en raison de la stabilité de leur valeur qui est corrélée à celle d'une monnaie fiat. Cependant, leur statut monétaire n'avait jamais été officiellement reconnu. Du moins, jusqu'à ce que Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale américaine (Fed), ne le fasse. Un tournant ?