Bitcoin : un signal de confiance massif. 3,77 millions de BTC retirés, le marché entre-t-il dans une nouvelle ère haussière ?
Bitcoin : un signal de confiance massif. 3,77 millions de BTC retirés, le marché entre-t-il dans une nouvelle ère haussière ?
Saylor l'assure : l’hiver crypto est terminé. Mais quand le bitcoin grimpe vers les sommets, qui ramasse les pelles, et surtout… qui vend les pioches ?
En mai, les cryptos s’emballent, les RWA s’envolent, et Binance annonce : « Tout va bien ». Mais derrière les chiffres, une tokenisation rampante bouleverse doucement la finance classique…
Le bitcoin est de retour au contact des 110 000 dollars, galvanisé par la ruée des trésoriers d'entreprise et le teasing du conseiller à la Maison-Blanche Bo Hines.
Bitcoin (BTC) montre des signes de retour, se négociant actuellement à moins de 3 % de son plus haut historique. Après être resté autour de 105 000 $ depuis fin mai, cette hausse de prix indique un élan croissant. Elle reflète également une confiance renouvelée parmi les investisseurs, dont beaucoup sont désireux d'augmenter leurs avoirs en Bitcoin.
Dans un marché où les prédictions extrêmes ne font plus frémir personne, Bernstein vient pourtant de faire sensation. Le gestionnaire d’actifs, fort de 800 milliards de dollars sous gestion, anticipe un bitcoin à 200 000 dollars d’ici la fin de cette année. Plus étonnant encore : cette cible est qualifiée de « conservatrice » par ses propres analystes. Un positionnement audacieux, à rebours du climat de prudence qui domine les marchés, et qui pourrait bien redéfinir les attentes autour de l’actif le plus scruté de la planète.
Quand Michael Saylor propose à Apple de troquer ses actions contre du bitcoin, c’est pas une blague... ou peut-être une révolution crypto emballée dans un iPhone, qui sait ?
Ce que beaucoup pensaient improbable est désormais en train de devenir réalité : les ETF Bitcoin spot américains s’apprêtent à franchir la barre symbolique des 1 000 milliards de dollars de volume de transactions. En moins de 18 mois, ces produits financiers ont bouleversé le paysage boursier, imposant le bitcoin comme un actif incontournable sur les marchés traditionnels. Une montée en puissance fulgurante, portée par un engouement institutionnel sans précédent.
Tandis que les marchés financiers avancent à tâtons dans un climat géopolitique incertain, le bitcoin vient de franchir à nouveau un cap clé : les 110 000 dollars. Ce seuil, abandonné depuis deux semaines, marque une rupture technique qui dépasse le simple rebond. En effet, un tel mouvement s’intègre dans une reconfiguration des forces à l’œuvre sur le marché crypto, où les dynamiques de prix, les positions spéculatives et les arbitrages institutionnels semblent entrer dans une nouvelle phase.
Bitcoin. Un mot qui claque, qui effraie, qui fascine – et qui, ce 9 juin, a de nouveau bousculé tous les codes. Les sceptiques n’y verront qu’une nouvelle flambée passagère. Mais ceux qui observent la surface frémir devinent ce qui se trame en profondeur : une tectonique d’ambition, d’audace et, soyons francs, de pur instinct. Retour sur une envolée qui a vu un millionnaire dégainer l’un des paris les plus décomplexés de l’année, alors que la planète finance s’agrippe à son siège.
Saylor dilue, les bitcoins s’accumulent, et les actionnaires applaudissent. MicroStrategy transforme la bourse en mine, sans pelle ni pioche. Jusqu’où ira le capitaine au trésor numérique ?
Le bitcoin vient de frapper fort : un déséquilibre de liquidation de 53 247 % vient de renverser brutalement le marché. En quelques heures, le BTC a balayé tous les repères des traders et redéfini la bataille entre haussiers et baissiers. Ce n’est pas juste une hausse de prix, c’est un vrai bouleversement.
Michael Saylor affirme que les craintes concernant l'informatique quantique capable de briser Bitcoin sont exagérées. Il croit que le réseau peut s'adapter et que les géants de la technologie ne prendront pas le risque pour leur propre sécurité.
Le bitcoin n’a jamais eu pour habitude de récompenser les évidences. Alors que son cours remonte à plus de 105 000 dollars, nombre de traders à effet de levier prennent une position étonnante : ils misent massivement sur sa chute. Derrière ce comportement en apparence rationnel, se cache peut-être une méconnaissance des mécaniques profondes du marché crypto — ou pire, une répétition des erreurs passées.
Strategy avance à visage découvert : accumuler du bitcoin, quel qu’en soit le prix. Toutefois lorsque l’entreprise annonce une levée de fonds d’un milliard de dollars et que Michael Saylor publie dans la foulée un énigmatique, la stratégie prend une tout autre dimension. En quelques heures, les marchés s’agitent, les spéculations reprennent. L’homme d’affaires ravive l’intérêt de tout l’écosystème, et renforce l’idée que Strategy est bien plus qu’une entreprise tech : un signal institutionnel fort en faveur du bitcoin.
Bitcoin, liberté ou traque planétaire ? Quand une famille enterre ses cryptos aux quatre coins du globe, c’est que la fortune attire aussi les menottes… mais pas toujours les voleurs.
Quand Changpeng Zhao, alias CZ, prend la plume — ou plutôt son clavier — l’écosystème crypto tend l’oreille. Ce 7 juin 2025, l’ancien patron de Binance a encore frappé avec un tweet à la fois provocateur, ironique et plein de sens, fusionnant l’écho des discours de Winston Churchill avec la philosophie bien à lui du "HODL". Résultat : un message percutant qui résume à lui seul l’état d’esprit de millions d’investisseurs crypto à travers le monde.
Solana s’agite, XRP dégringole, Ethereum tangue… les baleines dansent et les petits investisseurs trinquent. Le cirque crypto continue, sans filet, au rythme d’un marché toujours plus imprévisible.
Jeudi 6 juin, le géant de la gestion d’actifs a subi un retrait record de 130,49 millions de dollars sur son ETF Bitcoin spot IBIT, le plus important depuis son lancement en janvier. Ce choc a suffi à entraîner l’ensemble du marché des ETF Bitcoin dans le rouge, pour la deuxième séance consécutive, remettant en question l’élan institutionnel qui soutenait jusque-là ces véhicules d’investissement adossés au bitcoin.
Comment gérer ses bitcoins au moment de la retraite ? Vaut-il mieux tout simplement vendre ses BTC, ou bien les apporter en collatéral auprès d’une banque et vivre à crédit ?
La Suisse, jadis coffre-fort discret, s’apprête à vider ses poches crypto à 74 pays... De quoi faire trembler les amateurs d’anonymat numérique planqués dans les Alpes !
Alors que les géants de la finance traditionnelle peinent à réinventer leur stratégie de réserve, une société japonaise sort des sentiers battus. Metaplanet, surnommée avec audace « la stratégie japonaise », ne se contente plus de flirter avec bitcoin. Elle entre désormais en guerre économique avec une ambition claire : posséder 100 000 BTC d’ici fin 2026. Ce n’est plus un simple pari, c’est un manifeste.
Le 5 juin, BlackRock n’a rien fait. Pas un dollar, pas un mouvement, pas même un frisson. Son ETF Bitcoin IBIT, jusqu’ici machine de guerre des capitaux entrants, est resté figé. Et ce n’est pas anodin. Dans un marché où l’immobilité est souvent plus inquiétante que la panique, cette inaction vaut bien plus qu’un simple chiffre à zéro. Pendant que les autres saignent, BlackRock s’arrête. Et dans ce geste, il y a peut-être plus de stratégie que de torpeur.
Sous tension face à une économie incertaine, les marchés guettent chaque geste de la Réserve fédérale. Loin de se limiter aux actifs traditionnels, ses décisions influencent désormais fortement le marché crypto. À l’approche d’une potentielle baisse surprise des taux, le bitcoin retient son souffle. Un tel signal monétaire pourrait propulser la première crypto vers de nouveaux sommets, nourrissant les anticipations d’un rallye historique.
Musk joue les cartomanciens 2.0 : des paris crypto sur X, des algos en guise de boule de cristal, et la presse reléguée au rang de prédiction folklorique.
La scène numérique mondiale assiste à l’émergence d’un prédateur invisible mais redoutable : Crocodilus, un malware Android aux ambitions voraces. Détecté pour la première fois en mars 2025, il a rapidement muté, passant d’un simple test régional à une offensive planétaire. Et ce ne sont pas vos photos de vacances qui l’intéressent, mais bien votre argent — notamment celui que vous pensiez en sécurité dans vos portefeuilles crypto.
Il y a des histoires qu’on enterre à coups de procès, de prisons à sécurité maximale et de gros titres oubliés. Puis il y a le bitcoin, ce fil rouge que l’on ne coupe jamais vraiment. En juin 2025, une transaction de 300 BTC, l'équivalent de 31 millions de dollars, tombe dans la cagnotte de Ross Ulbricht, créateur de Silk Road, ce marché noir légendaire du darknet. Le hic ? Cette manne vient d’un portefeuille lié à AlphaBay, son successeur tristement célèbre. Le passé n’a pas dit son dernier mot. Il revient… en crypté.
Près de 4 milliards de dollars d’options sur le bitcoin et l’Ethereum arrivent à échéance ce vendredi 6 juin, ce qui cristallise l’attention d’un marché sous pression. Avec des positions majoritairement haussières et des prix en dessous des seuils critiques, cette échéance pourrait déclencher une vague de volatilité. Dans un climat géopolitique tendu, traders et investisseurs institutionnels avancent à tâtons, conscients que le moindre mouvement de prix pourrait redistribuer les cartes à très court terme.
L'ancien star de la NBA Scottie Pippen encourage tout le monde à s'informer sur le Bitcoin. Des experts et des données récentes montrent la force croissante de la cryptomonnaie et les possibles gains de prix à venir.
Quand Musk menace l’espace et Trump coupe les vivres, c’est la crypto qui dévisse. Duel d’egos, milliards envolés et investisseurs déboussolés… À qui profite vraiment le chaos ?